Partitions
Partition d’espaces, partition de lumière.
Dans les « partitions », colonnes éléphantesques, chaque éléphant a son espace propre mais restreint. Il s’accorde avec les autres – tous différents- pour former un chant de la taille de l’animal.
Jouant sur l’humour des icônes et l’ombre de la déchirure, la partition s’érige en pilier de leur monde, fragile et poétique.
Technique : estampage de gommes sur papier BFK Rives au bords déchirés.
Le papier est encollé sur du balsa afin d’être détaché du mur.
La largeur du papier est de 75 cm, la hauteur de l’œuvre est celle d’un éléphant.
C’est à dire qu’elle se construit selon le lieu et mesure entre 2 m 50 et 4 m 50. (ici : 3 m 50)
Toutes les icônes sont différentes sur une partition. Celles-ci sont positionnées dans
leur espace en fonction de leur dessin et la hauteur de la bande de papier s’ajuste
à la hauteur de l’icône.